Il est tard dans la nuit, nous pénètrons dans le compartiment avec MARIANE mamie ma douce pour aller rejoindre des amis.

Tu es là, seul, absorbé dans la lecture d'un roman. Tu es jeune et beau, la vingtaine provocante. Je m'assieds face à toi, calé comme toi dans le coin fenêtre,MARIANE prends place pres de moi et me fait remarquer ta présence, puis elle s'assoupie sur mon épaule.Apres une heure d'attente, le convoi s'ébranle. J'ouvre mon journal et feins de me plonger dans sa lecture, mais furtivement je te détaille, par dessus le haut de mon quotidien largement ouvert devant moi.

Nos regards se croisent, une lueur coquine illumine ton sourire. Mon regard s'abaisse maintenant entre tes cuisses que les trépidations du train lancé à vive allure écartent doucement, insensiblement, l'une de l'autre. Laissant apparaître une bosse généreuse sous ton pantalon moulant. Nos cuisses écartées se frôlent et s’entrechoquent bercées par le mouvement du train .Tu ne retire pas la tienne bien au contraire tu te laisse glisser lentement sur la banquette, je sens à présent ta cuisse collée tout contre la mienne. Tu ne dis rien, toujours apparemment plongé dans ta lecture.

Je sens ma verge se tendre sous mon pantalon. Je n'y tiens plus, mes doigts saisissent la fermeture de ma braguette qui glisse doucement vers le bas. Ma queue tendue jaillit de l'ouverture de mon pantalon. Ma main saisit mon membre tendu et va et vient sur toute sa longueur.

Tu as posé ton roman. Tes yeux ne quittent plus ma bite rougeoyante et dure. Je me caresse doucement, MARIANE dort profondément. Pour m'encourager dans mon activité, tes cuisses me frôlent davantage. Ta main vient caresser ton sexe sur le fin tissu de ton pantalon.

Du pouce j'étale sur mon gland écarlate la fine goutte de liqueur gluante et transparente qui perle de mon méat entrouvert. Tu glisses encore sur la banquette pour ne rien perdre du spectacle. Ta langue caresse tes lèvres luisantes. Tu glisses une de tes mains sous ta chemise déboutonnée et tu pinces fougueusement le bout de tes seins.

La fine texture de ton pantalon porte maintenant la forme enflée et la trace de ton émoi sous la forme d'une auréole humide qui m'excite au plus haut point. Ta main libre glisse sous ta braguette et tes cuisses écartelées, ton pieds repose sur ma banquette.

MARIANE se réveille ,mamie,ma complice comprends que quelque chose s'est passé durant son sommeil et feint d'avoir soif pour nous laisser seuls, elle quitte le compartiment apres avoir éteint la lumière.

Dans la demi pénombre,tu dégages ton slip pour laisser gicler de son fourreau un sexe excité d'une bonne dimension. Elle est belle cette queue, longue fine et bien décalottée.Tu ôtes tes bottes et fais glisser ton pantalon le long de tes cuisses. Tu ôtes ton slip et le jette sur la banquette. Tu gémis en te branlant de manière désordonnée. Tes doigts mouillés de ta salive agrippe ta grosse bite et massent tes couilles ton autre main caresse ton anus.

Excité par cette vision,Je me mets à genoux entre tes cuisses. Tes mains agrippent ma nuque et maintiennent ma bouche à l'embouchure de tes cuisses. Ma langue te fouille et t’aspire profondément, très profondément. Le goût de ta bite est divin, l'odeur merveilleuse.

Tes gémissements me font bander plus fort encore. Tes cuisses relevées se resserrent sur mon visage. Ma langue te fouille sous tes couilles et au plus profond de toi. Mes mains pétrissent et pinces tes tétons en érection, je me relève pour les mordiller.

Tu presses ma tête contre ta poitrine. Mon gland a trouvé instinctivement l'embouchure humide de ton orifice béant. Je pousse mes hanches en avant .Ma queue pénètre ton trou délicatement qui l'aspire avec un bruit de succion qui m’excite. Tes mains griffent mes reins, mes hanches, saisissent mon visage et le gifle. Tu me provoques. Cela m’excite encore plus. Je me laisse faire tandis que je pilonne ton anus humide et bouillant. Mon émoi est intense ....Je ne veux pas jouir encore, je veux te donner encore d'autres sensations. Je me relève. Tu te lèves aussi. Tu fouilles avec ta langue ma bouche affamée. Je te retourne doucement, tu te penches en avant, les mains posées sur la banquette, le cul tendu ouvert vers moi. Le spectacle est magnifique, tes fesses rondes et fermes, je me régale du spectacle.

Je m'agenouille derrière toi, tu gémis d'avance à l'idée de ma caresse. J'écarte les globes charnus de ton cul, ton anus béant apparaît et tes couilles et ta queue attendent d’être pétris par mes mains et avalés par ma bouche.

Ma bouche se colle dans le sillon imberbe ouvert de tes fesses. Ma langue ouvre doucement la rosette brune de ton cul. Elle s'écarte sous la pression humide. Je t'encule de la langue à petits coups vifs .Tu pousses ton postérieur vers mon visage. J'écarte encore tes fesses, je voudrais rentrer ma langue entière dans ton cul . Ta rosette s'écarte encore, ton cul s'agite sous mon visage écarlate de désir. Je me redresse derrière toi, ce sont mes doigts qui prennent le relais de ma langue. Je porte trois doigts à ma bouche, je les mouille de ma salive.

Je pousse lentement un doigt, les premières phalanges sont englouties, ton cul s'ouvre peu à peu et je me régale du spectacle et des mouvements que font tes fesses écartelées. J’enfonce mes doigts l'un après l'autre très doucement dans l'orifice dilaté de ton anus de jeune puceau.

Tu hurles ta jouissance mêlée d'une douce douleur tandis que mes doigts s'enfoncent davantage. Je t'encule avec ma main, et je vois ta rondelle s'écarteler sous la pression. Des larmes coulent sur tes joues écarlates. Je retire délicatement les doigts. Ton anus meurtri reste béant et j’en profite pour glisser ma grosse bite dans ce doux et chaud orifice.

Je pousse à peine avec mon gland que ma hampe est engloutie par un bruit de succion sur toute sa longueur par ton cul préparé à cette intromission. Je suis dans tes entrailles, je t'encule au plus profond de ton être, je te possède tout entier. Mes hanches s'agitent doucement, puis brutalement j'accélère la cadence. Je pilonne furieusement ton trou, je t'encule, je te défonce, je m'agrippe à la crinière de tes cheveux et la tire vers moi puis j’introduis un doigt dans ta bouche tu le lèches et l’aspire fougueusement.

Je claque fortemment tes fesses tout en te défonçant avec hargne. Je claque tes joues .Tu râles de plaisir tu aimes cette douceurur un brion sadique. Tu t'abandonnes à moi, Soumis. Je te masturbe, tu bandes comme un fou et des gouttes de sperme giclent sur mes doigts que tu lèches avec un fougueux plaisir.

Brutalement la porte du compartiment s'ouvre MARIANE apparaît dans l'ouverture. Une lueur lubrique éclaire son visage peu à peu.Elle pénètre sans un mot dans l'habitacle et en referme la porte qu'elle verrouille. Elle fait glisser sa jupe et sa culotte . Je continue de pilonner ton arrière train. Tu saisis le visage de MARIANE entre tes mains ,tu aspire sa langue dans ta bouche et la suce comme une bite en caressant sa chatte du bout des doigts d'abord timidement. Puis devant les coups de boutoir plus profonds de ma queue, tu les enfonce au fond de son chat , tu caresses,avales et pétris sa grosse poitrine, aspires et suces son gros bouton qu'elle offre à tes lèvres .

Puis elle se dégage de ta succion pour m'embrasser et m'encourager à te pilonner encore plus fort et elle passe dans mon dos.Sa main saisit mes couilles avec délicatesse, un plaisir supplémentaire m'assaille, tu nous observes ,excité. Je n'ai pas cessé de t'enculer.

Je sens sa langue caresser mes bourses pendantes, elle remonte le long de mes fesses, puis s'insinue entre mes deux globes fessiers qu'elle écarte de ses deux mains pour titiller mon anus qui s'abandonne et s’offre entièrement sous la caresse. Mon trou en redemande, j’étire mes fesses pour mieux lui offrir mon trou avec sa langue elle le fouille et le pilonne sans ménagement.

Très excité je te transperce un peu plus brutalement. Sa langue s'efface, elle m'introduit un, puis deux doigts dans mon cul avec dextérité. Mon trou est large et brûlant. Je sens que je vais jouir dans ton cul. Ses doigts butent sur ma rosette en feu.

D'une poussée ferme ,MARIANE pousse mes hanches contre tes fesses. La brûlure de mon jet de sperme dans tes entrailles est sublime et provoque un feu d'artifice dans ton cul déchiré que j'inonde de ma double jouissance.

Le train pénètre dans un tunnel il fait nuit noire, nous nous vautrons tous les trois sur la banquette. Une bouche saisit mon membre et en aspire avec délectation les dernières gouttes de ma semence. L’autre lèche goulûment mon trou accompagné de petits bruits de succion , je me laisse faire, je suis au anges.

MARIANE aspire ton gros gland rosé bien décalotté et dans une ultime pulsion passe le bout de sa langue sur le méat entrouvert que j'écarte du bout de mes doigts pour lui faire recueillir les dernières gouttes de ton doux et délicieux nectar qui s’en échappe . Puis elle écarte ses fesses et chevauche mes lèvres pour me donner le goût divin de son chat et de son anus sur ma langue et dans ma bouche .

Mon sexe s’épaissit de plaisir et je sens à nouveau le tiens grossir sous mes doigts qui te fouille et ma main qui palpe tes couilles .

MARIANE s'assoit sur mon sexe et aspire fougueusement le tien dans sa bouche son cul s'agite furieusement et je jouis merveilleusement entre ses reins pendant qu'elle aspire ta bite et te vide de tes dernieres gouttes dans sa bouche...